tag:blogger.com,1999:blog-6505633505451013687.post3620152528856856820..comments2023-09-17T15:15:41.044+02:00Comments on L'ANAGNOSTE: Georges Perec, Tentative d'épuisement d'un lieu parisienEric Bonnargenthttp://www.blogger.com/profile/16918863517638305902noreply@blogger.comBlogger5125tag:blogger.com,1999:blog-6505633505451013687.post-60752080300475771962013-04-06T17:28:21.189+02:002013-04-06T17:28:21.189+02:00J'ai découvert ce livre en travaillant sur le ...J'ai découvert ce livre en travaillant sur le récit urbain. Effectivement Perec, par son approche banale, procède au dévoilement d'un quotidien qui masque par sa praxis l'"impertinence" des postures et temporalités. Cet exercice m'a permis de mieux cerner (en tant qu'architecte_urbaniste) la portée de l'espace urbain.<br />Merci pour cet formidable éclairage. <br />Amicalement.<br />A.BOUCHAREBAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6505633505451013687.post-72499118624754611812012-10-17T17:57:01.564+02:002012-10-17T17:57:01.564+02:00Inauguration de la plaque « Hommage à Georges Pere...Inauguration de la plaque « Hommage à Georges Perec »<br />Il y a 38 ans, en octobre 1974, Georges Perec s'installait place Saint-Sulpice pour écrire « Tentative d'épuisement d'un lieu parisien* ». <br />Une plaque hommage va être installée au Café de la Mairie, le mardi 23 octobre à 19 h 30 en présence de nombreuses personnalités de l’association Georges Perec et de l’OuLiPo.<br />contact@damnedesign.com<br />06.11.70.52.89<br />Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6505633505451013687.post-58140318040019333982012-07-25T18:18:50.481+02:002012-07-25T18:18:50.481+02:00Bon inutile de s'attarder, Perec c'est mon...Bon inutile de s'attarder, Perec c'est mon super pote de livres.<br /><br />Mais surprise ! Cette " Tentative d'épuisement d'un lieu parisien ", je la subis depuis sept années.<br />Où ? Passage St Ange qui mène à ciel ouvert de la rue Jean Leclerc à l'avenue de St Ouen. Ce passage est long de 50 mètres.<br /><br />Je ne sais combien de photographies en Noir & Blanc ou en couleurs j'y ai pris.<br />Toutes saisons confondues, de jour comme de nuit.<br />Et cela continue : une richesse de détails et d'évolutions " Attention Travaux "<br /><br />Point de " prise de tête ", le mode d'emploi est simple : il suffit de se pencher sans tomber pour voir.<br />Seule contrainte qui n'en est pas : avoir son Reflex 24X36 avec soi-même.<br /><br />Le mystère du point final à gauche ...<br /><br />Salut et Fraternité bien sûr !Yves Grunhard Photographenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6505633505451013687.post-1002585027137429192012-01-30T16:54:21.810+01:002012-01-30T16:54:21.810+01:00Les Revenentes sont de retour et je vois bien une ...Les Revenentes sont de retour et je vois bien une malice dans ce é de perecquien qui énonce que vous avez suivi la chose, qui nous renvoie à l'humour cinématographique de Pierre-Oscar Lévy et à la fois par incidence Bartleby à ce E É vu grâce à la lumière et au temps dans un texte exposé de François Morellet dans une galerie située au 11 toujours dans le 6e. Ceci est en quelque sorte un code QR de mots.Marylin Rollandhttps://www.blogger.com/profile/14125133629211342832noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6505633505451013687.post-72436161417690895872012-01-29T08:49:47.490+01:002012-01-29T08:49:47.490+01:00Il faudra faire un jour l'éloge des livres dat...Il faudra faire un jour l'éloge des livres datés. Les livres symptômes, épopées d'époque qui nous arrêtent. Qui stoppent le temps d'abord, le lecteur ensuite. D'où le sentiment de nostalgie qui peut, en effet, nous étreindre... <br /><br />Mais la nostalgie ne me semble pas pouvoir circonvenir à elle seule tel texte clinique, phénoménologique voire numérologique. Dans le titre, le mot "épuisement" doit à son tour nous arrêter, qui n'est pas sans évoquer la théorie mathématique. Et puisque nous savons depuis Einstein que l'espace c'est du temps, nous savons aussi et que le temps c'est de l'espace...<br /><br />J'entends bien ce que tu dis sur la poésie du piéton de Paris... Sauf qu'elle définirait mieux la posture des poètes surréalistes - Cf. Aragon par ex. Le narrateur pérecquien lui, est ici remarquablement assis. Il prend des notes. Il écrit. Il agit dans une position partielle, et partiale (il ne voit qu'un gros tiers du ciel...) Ainsi l'épuisement n'est pas tant celui du lieu, que celui du lieusard, du preneur de notes, du narrateur lui-même (il se lève, il se lasse, il doute des noms, il arrête d'écrire, il va se coucher...). "Pourquoi compter les autobus ? se demande-t-l ? Sans doute parce qu'ils sont reconnaissables et réguliers : ils découpent le <br />temps, ils rythment le bruit de fond ; à la limite ils sont prévisibles." C'est plus de l'éternel retour qu'il s'agit, que de la beauté du fugace.<br /><br />Pour tout dire je ne crois pas qu'il veuille nous dire que nous ne sachions pas voir ? Mais bien plutôt qu'on peut écrire autrement. Que si la vie est manifeste, l'écrire ne va pas de soi - Cf. le texte référence sur L'Infraordinaire -. Comme disait le contemplatif oncle Totor : l'écrivain voit ce que les autres ne voient pas. Mais ce n'est pas parce qu'il marche, mais bien parce qu'il s'assoit.<br /><br />Salut & fraternité,<br /><br />A. GA. Ghttps://www.blogger.com/profile/13220658528369936460noreply@blogger.com